La vague de naturalité sur les déodorants
La santé de la peau fait partie des préoccupations majeures dans les catégories des soins cosmétiques. S’agissant de la catégorie des déodorants, le concept de naturalité s’est significativement renforcé depuis ces dernières années.
Des controverses autour de certains ingrédients, notamment ceux utilisés pour leur action anti-odeur, participent à accroître cette demande de formules plus naturelles et respectueuses de la peau.
Jusqu’à présent, trois principales stratégies étaient utilisées pour se prémunir des mauvaises odeurs liées à la transpiration [2] :
- L’action anti-transpirante qui empêche la sueur d’être libérée à la surface de la peau. Elle nécessite souvent l’usage de sels d’aluminium, un ingrédient controversé [3].
- L’action antiseptique qui utilise des agents antimicrobiens à large spectre. Cette technique ne respecte pas l’équilibre du microbiote cutané et les ingrédients utilisés peuvent être irritants pour la peau, allergènes ou suspectés d’être des perturbateurs endocriniens [4].
- L’action parfumante qui masque les mauvaises odeurs de transpiration. Par sa teneur en alcool, cette solution peut devenir une source d’irritation.
Reconnu par la communauté scientifique et validé par les consommateurs, le microbiote reste moteur dans l’innovation des produits de beauté. Son concept offre une stratégie naturelle et efficace pour minimiser les mauvaises odeurs en régulant certaines populations bactériennes.
L’indéniable « glow-up » des déodorants
Si la vague des formules plus naturelles a activement permis à la catégorie des déodorants de prendre un réel tournant dans son offre, c’est bien celle de la skinification qui dynamise désormais la multifonctionnalité des produits et la fait entrer dans une nouvelle ère d’innovations.
Au-delà des odeurs, la transpiration induit également une sensibilité cutanée accentuée par la finesse de la peau des aisselles. De plus, les techniques dépilatoires, les frottements, certains produis d’hygiène ou la chaleur fragilisent considérablement la fonction barrière de cette zone cutanée délicate et favorise l’apparition d’irritations [7].
Ainsi, ces irritations constituent une source supplémentaire d’inconfort pour les aisselles et justifient le besoin de développer des produits de soins dédiés à cette zone.
La solution SILAB dédiée à l’hygiène et au soin des aisselles
Issu de la reine-des-prés et testé sur panel mixte, DEOLYA® contrôle significativement les mauvaises odeurs au niveau des aisselles dès la première utilisation et sur le long terme.
Cet ingrédient actif cible S. hominis, tout en respectant la diversité microbienne de cette zone cutanée. De plus, évalué pendant un mois sur un panel présentant une sensibilité sous les aisselles, DEOLYA® renforce la fonction barrière cutanée et diminue la fréquence des sensations d’irritations.
- [1] Nearly three in 10 deodorant users have applied it less (mintel.com)
- [2] de Oliveira, E.C.V. et al., Deodorants and antiperspirants: identification of new strategies and perspectives to prevent and control malodor and sweat of the body. International Journal of Dermatology. 2021; 60: 613-619.
- [3] Linhart, C. et al. (2017) Use of Underarm Cosmetic Products in Relation to Risk of Breast Cancer: A Case-Control Study. EBioMedicine. 21: 79-85.
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[4] Martini, M.C. et al., Déodorants et antitranspirants. Annales de dermatologie et de vénéréologie. 2020; 147: 387-395.
- [5] Kantar Profiles/Mintel, April 2022, US: 1,943 internet users aged 18+ who use bodycare or deodorant/antiperspirant (A year of innovation in shaving & depilatory and deodorant, 2023 - Mintel)
- [6] KuRunData/Mintel, November 2021, China: 3,000 internet users aged 18-59 A year of innovation in shaving & depilatory and deodorant, 2023 – Mintel
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[7] Evans, R.L. et al., The impact of different hair removal behaviours on the biophysical and biochemical characteristics of female axillary skin. International Journal of Cosmetic Science. 2020 ; 42: 436-443.